Quoi de neuf en Corée du Sud ? (1/3)
10 marsSociété – « Les Séouliens sont plus gros au Nord de la rivière Han qu’au Sud » a révélé le législateur républicain Park Young-Ah qui a mené une enquête auprès de 1 276 élèves d’écoles primaires, de collèges et de lycées à Séoul, Jung-gu a le plus haut taux d’obésité avec 16.2%, suivi du quartier de Dongdaemun (16.1%), de Jungnang (15.9%) et de Jongno (15.8%), tous situés au Nord de la capitale, Seocho obtient de son côté le plus bas taux avec 12.2%, suivi de Yangcheon (12.6%), Gangnam (12.8%) tout comme Songpa, une différence Nord-Sud qui s’illustre souvent par le rapport pauvre-riche, tant l’immobilier étant élevé dans la partie inférieure de la capitale.
Sports – Les huit équipes de baseball qui composent l’association coréenne de baseball ont décidé d’approuver la demande de la nouvelle équipe NCsoft d’obtenir plus facilement de nouveaux joueurs et des joueurs étrangers afin de faire son entrée en douceur dans le championnat tendu sud-coréen, le baseball étant le premier sport en Corée du Sud.
Tourisme – Pour la troisième année consécutive, Séoul se classe en première position parmi les destinations que les Chinois, les Japonais et les Thaïlandais souhaitent visiter dans les douze prochains mois suite à une enquête menée par la ville de Séoul auprès de 1 850 Chinois, pour qui Séoul devance Tokyo et Sydney, 1 250 Japonais qui insère Honolulu et Paris dans le top3, et 700 Thaïlandais pour qui Séoul se place devant Tokyo et les Maldives, un classement qui ne permet cependant pas la Corée du Sud de gagner en compétitivité dans le classement mondial, le pays se plaçant 32e et perdant une place par rapport à l’an dernier .
Finance – Selon un rapport dévoilé par l’OCDE en début de semaine, la Corée du Sud ne ferait plus spécialement bonne figure parmi le classement des nations ayant une population qui place son argent, la moyenne des placements des foyers en 2010 s’élevant à un petit 2.8% (la part des placements sur le revenu) contre une moyenne de l’organisation internationale qui atteint les 6.1% (parmi 20 pays membres de l’OCDE), un faible taux qui peut être expliqué par le ralentissement de l’augmentation des salaires, la hausse des impôts et la chute du taux d’intérêt.
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